Bonjour et bienvenue dans notre émission viens et suis-moi, aujourd'hui nous allons vous présenter le séminaire, une éducation religieuse destiné aux jeunes de 14 à 17 ans ....
mardi 30 septembre 2014
Emission TNTV viens et suis moi - Septembre 2014
Bonjour et bienvenue dans notre émission viens et suis-moi, aujourd'hui nous allons vous présenter le séminaire, une éducation religieuse destiné aux jeunes de 14 à 17 ans ....
samedi 27 septembre 2014
MESSAGE :
Par
MICHAEL JOHN U. Teh des soixante-dix
En janvier dernier, ma chère femme, Grace,
et moi avons reçu la responsabilité de rendre visite aux membres des
Philippines qui ont connu les dévastations d’un tremblement de terre de grande
envergure et d’un typhon géant.
Nous nous sommes réjouis parce que cette
responsabilité était une réponse à nos prières et un témoignage de la
miséricorde et de la bonté d’un Père céleste aimant. Cela a mis fin à notre
attente de pouvoir leur exprimer personnellement notre amour et notre
sollicitude.
Lors des calamités ou des tragédies, le
Seigneur a l’art de nous recentrer, nous et nos priorités. D’un coup, tous les
biens matériels que nous avons acquis après tant de travail n’ont plus aucune
importance.
Tout ce qui compte, c’est notre famille et
nos relations avec les autres. Une brave sœur l’a formulé comme ceci :
« Après que les eaux se sont retirées et que le moment est venu de
nettoyer, j’ai fait le tour de ma maison et je me suis dit que j’avais accumulé
beaucoup de choses inutiles pendant toutes ces années. »
Je pense que cette sœur voit les choses
sous un meilleur angle et que dorénavant elle fera très attention quand elle
décidera de ce qui est nécessaire et de ce dont elle peut vraiment se passer.
Par nécessité, la plupart d’entre nous
gagnent de l’argent et acquièrent des biens de ce monde pour pouvoir subvenir
aux besoins de leur famille. Cela requiert beaucoup de notre temps et de notre
attention.
Ce que le monde a à nous offrir est infini ; il est donc capital d’apprendre à reconnaître quand nous
avons assez.
Si nous n’y prenons garde, nous
commencerons à nous attacher au temporel plus qu’au spirituel. Notre quête du
spirituel et de l’éternel deviendra secondaire, alors que ce devrait être
l’inverse. Malheureusement, il semble y avoir une forte tendance à acquérir de
plus en plus de biens et à posséder les plus récents et les plus élaborés.
J’espère
qu’aucun de nous ne dépense d’argent pour ce qui n’a pas de valeur, ni ne
travaille pour ce qui ne peut satisfaire.
Le Sauveur a enseigné ce qui suit tant aux
Juifs :
« Ne vous amassez pas des trésors sur
la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et
dérobent. Mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la
rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton
trésor, là aussi sera ton cœur. »Matthieu 6:19–21
Quels
sont les trésors dans les cieux que nous pouvons nous amasser ?
Pour commencer, il serait bien d’acquérir les vertus chrétiennes
que sont la foi, l’espérance, l’humilité et la charité. L’exhortation du
Sauveur est que nous nous efforcions d’être parfaits comme notre Père céleste
et lui.
Deuxièmement, nous devons consacrer plus de temps et d’efforts de qualité à
fortifier nos relations familiales. Après tout, la famille est
ordonnée de Dieu. Elle est la cellule la plus importante pour le temps et pour
l’éternité.
Troisièmement, servir les autres est la marque d’un vrai disciple du
Christ. « Dans la mesure où vous avez fait cela à l’un de ces plus petits
de mes frères […] c’est à moi que vous l’avez fait. » Matthieu
25:40
Quatrièmement, comprendre la doctrine du Christ et fortifier notre témoignage
est un travail qui nous apportera une joie et une satisfaction véritables. Nous
avons besoin d’étudier régulièrement les paroles du Christ que l’on trouve dans
les Écritures ainsi que les paroles des prophètes actuels.
Souvenons-nous toujours des paroles du Sauveur
: « Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. » Je
prie que notre cœur puisse être au bon endroit, au nom de Jésus-Christ. Amen.
vendredi 26 septembre 2014
Réunion Générale des Femmes du Monde Entier, ce samedi 27 septembre 2014
POUR QUI ?
Cette réunion est destinée à toutes les femmes, jeunes filles et fillettes de 8 ans et plus. Qu'elles soient membres de l'Église ou pas.
TOUTES LES FEMMES SONT INVITÉES.
LIEU, DATE ET HEURE ?
Pour ce qui est de Tahiti et ses îles, la réunion aura lieu dans chaque bâtiment de pieu de l'Église.
POURQUOI ?
COMMENT ?
Pour celles qui ne sont membres, vous pouvez demander, si vous le souhaitez, à une soeur membre de l'Église de vous accompagner. Elles seront ravies de vous rendre ce service.
Autrement, vous pouvez suivre en direct sur internet : www.lds.org
Pour tous renseignements : mormonmediastahiti@gmail.com
Cette réunion est destinée à toutes les femmes, jeunes filles et fillettes de 8 ans et plus. Qu'elles soient membres de l'Église ou pas.
TOUTES LES FEMMES SONT INVITÉES.
LIEU, DATE ET HEURE ?
Pour ce qui est de Tahiti et ses îles, la réunion aura lieu dans chaque bâtiment de pieu de l'Église.
Le
pieu de ARUE, suite à des changements indépendants de leur volonté,
diffusera la réunion générale des femmes le dimanche 28 septembre 2014 à
Pirae, au centre de pieu.
Pour les autres pieux, la réunion se fera le SAMEDI 27 SEPTEMBRE 2014 à partir de 14h.
POURQUOI ?
Cette
réunion permet aux femmes polynésiennes, membres ou non, de se
rassembler pour un moment d'instruction, dans une ambiance de paix et de
fraternité.
Elles pourront ainsi, grâce aux messages qui seront
donnés, améliorer leur vie, ou encore avoir plus de courage pour
affronter les défis de la vie.
Le Seigneur, qui inspirera les
oratrices et les orateurs, souhaite le bonheur de toutes ces femmes qui
contribuent à son oeuvre, de par le monde et qui sont une part
importante de son plan du bonheur.
COMMENT ?
Pour celles qui ne sont membres, vous pouvez demander, si vous le souhaitez, à une soeur membre de l'Église de vous accompagner. Elles seront ravies de vous rendre ce service.
Autrement, vous pouvez suivre en direct sur internet : www.lds.org
Pour tous renseignements : mormonmediastahiti@gmail.com
jeudi 25 septembre 2014
Emission "Viens et suis-moi" sur TNTV - le 27 Septembre 2014
Mormon Médias Tahiti vous donne rendez-vous à partir de 06h00, sur votre chaîne local TNTV ce samedi 27 Septembre 2014.
Bonjour et bienvenue dans notre émission viens et suis-moi, aujourd'hui nous allons vous présenter le séminaire, une éducation religieuse destiné aux jeunes de 14 à 17 ans ....
Bonjour et bienvenue dans notre émission viens et suis-moi, aujourd'hui nous allons vous présenter le séminaire, une éducation religieuse destiné aux jeunes de 14 à 17 ans ....
dimanche 21 septembre 2014
Article paru dans la rubrique "Religion" de la Dépêche de Tahiti le Samedi 20 Septembre 2014
MESSAGE :
Il
y a peu de sentiments comparables à ceux que l’on ressent quand on devient
parent. Il n’y a rien de plus merveilleux que de recevoir, directement des
cieux, un précieux nouveau-né. Un de mes frères a vécu cette expérience d’une
façon particulièrement poignante. Son premier fils, né prématuré, ne pesait que
1,3 kg. Hunter a passé les deux premiers mois de sa vie à l’hôpital, dans
l’unité de soins intensifs néonataux.
Ces deux mois, au cours desquels nous
avons espéré et demandé l’aide du Seigneur, ont été émouvants pour toute la
famille.
Le petit Hunter était
tellement dépendant ! Il luttait pour acquérir la force nécessaire pour
vivre. La main robuste de son père aimant a souvent pris sa main minuscule pour
l’encourager, lui, son petit enfant fragile.
Il en est de même pour tous les enfants de Dieu. Notre Père céleste nous tend la main avec un amour infini. Il a pouvoir
sur toute chose et désire nous aider à apprendre, à progresser et à retourner
auprès de lui.
Quand nous acquérons
une foi et une confiance plus grandes en notre Seigneur, nous accédons à son
pouvoir de nous bénir et de nous délivrer.
Un soir, à la tombée
de la nuit, j’étais en voiture avec mes enfants. J’ai remarqué un garçon qui
marchait le long d’une route déserte. Après être passée à côté de lui, j’ai eu
l’impression très nette que je devais faire demi-tour et l’aider.
Mais, craignant
qu’il ait peur en voyant une inconnue s’arrêter à côté de lui le soir, j’ai
continué ma route. L’impression est revenue avec force et j’ai entendu ces mots
dans mon esprit : « Va aider ce garçon ! »
Je suis retournée
vers lui et lui ai demandé : « As-tu besoin d’aide ? J’ai eu
l’impression que je devais t’aider. »
Il s’est tourné vers
nous et, le visage plein de larmes, il a dit : « Vous voulez
bien ? J’ai prié pour que quelqu’un m’aide. »
Dieu a répondu à sa
prière en m’envoyant une inspiration. Cette expérience de recevoir une
inspiration de l’Esprit d’une telle clarté m’a laissé dans le cœur une
empreinte inoubliable et toujours présente.
Et maintenant,
vingt-cinq ans plus tard et grâce aux tendres miséricordes du Seigneur, j’ai
retrouvé ce garçon pour la première fois il y a tout juste quelques mois. Je me
suis aperçue que cette expérience n’est pas seulement mon histoire, mais
qu’elle est aussi la sienne.
Deric Nance est aujourd’hui père de famille. Lui
non plus n’a jamais oublié cette expérience. Elle nous a permis de poser un
fondement de foi : Dieu entend et
exauce nos prières. Nous l’avons tous les deux utilisée pour enseigner à
nos enfants que Dieu veille sur nous.
Ce soir-là, il était
resté après l’école pour une activité, et il avait raté le dernier bus. Fort de
la confiance que donne la jeunesse, il a pensé qu’il serait capable de rentrer
seul et s’est mis à marcher.
Il avait marché une
heure et demie sur cette route déserte. Il était encore à des kilomètres de
chez lui et il n’y avait pas de maisons en vue. Il avait peur. Angoissé, il
s’est agenouillé derrière un tas de gravier et a demandé à son Père céleste de
lui venir en aide. Quelques minutes seulement après qu’il a rejoint la route,
je me suis arrêtée pour lui apporter l’aide qu’il avait demandée dans sa
prière.
Avec toutes ces
années de recul, Deric analyse les choses ainsi : « Le Seigneur
veillait sur moi, un garçon frêle et irréfléchi. Et, malgré tout ce qui se
passait dans le monde, il connaissait ma situation et m’aimait suffisamment
pour m’envoyer de l’aide. Le Seigneur a répondu de nombreuses fois à mes
prières depuis que je me suis retrouvé sur cette route abandonnée.
Ses réponses
ne sont pas toujours si immédiates et si claires, mais l’intérêt qu’il me porte
est toujours aussi évident aujourd’hui que ce soir-là. Quand je me sens
enveloppé par les ténèbres de la vie, je sais qu’il a toujours un plan pour que
je retourne sain et sauf à la maison. »
Où que nous soyons sur le chemin de la vie de disciple, quelles que
soient nos craintes et nos difficultés, nous ne sommes pas seuls. Le
Seigneur ne vous a pas oublié.
Nous pouvons choisir de prendre la main que
Dieu nous tend quand nous sommes dans le besoin. Nous pouvons affronter nos
difficultés en priant et en nous confiant dans le Seigneur. Ce faisant, nous
devenons davantage semblables à lui.
Le Seigneur s’adresse
à chacun d’entre nous quand il dit : « Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards
inquiets, car je suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens à ton secours,
je te soutiens de ma droite triomphante (Ésaïe 41:10). »
Je témoigne
humblement mais sûrement que Dieu, notre Père, nous connaît personnellement et
nous tend la main pour nous aider. Je témoigne que, grâce à son Fils bien-aimé,
Jésus-Christ, nous pouvons vaincre les difficultés de ce monde et être ramenés
en sécurité à la maison. Je prie pour que nous ayons la foi de lui donner notre
confiance. Au nom de
Jésus-Christ. Amen.
jeudi 18 septembre 2014
Formation des dirigeants de la communication de l’église à la chapelle de Fariipiti.
Régulièrement,
les membres de la communication de chaque pieu se rassemblent afin de
bénéficier des derniers enseignements nécessaires à la progression de l’église
en Polynésie.
Nouvellement appelé, la
direction des Affaires Publiques Nationales de l’église a dispensée une
formation aux sept directions de la communication de pieux. Venus nombreux, ces
dirigeants ont la responsabilité de parler des principes élevés à travers la
vie des membres de l’église.
Et de veiller à
l’utilisation exacte des informations relatives à l’église.
Comme l’a déclaré un
apôtre, Elder Ballard :
«
…Aujourd’hui la communication répond à
un besoin de plus en plus grand…Je crois fermement que le programme de
communication de l’église est un outil préparé par le seigneur pour notre
époque. De nos jours, où la vérité est
si communément déformée ou mal comprise, il y a un grand besoin
d’exactitude et de compréhension. La communication menée efficacement peut
apporter équilibre et clarté. »
« Votre
appel consiste à établir et à fortifier la compréhension des gens de
votre région,… »
Actuellement une
émission de 26 minutes est diffusée sur la chaîne locale TNTV une fois par mois
et s’intitule « Viens et suis-moi ».
Et pour les réseaux
sociaux nous avons :
Chaque pieu a
également sa page Facebook.
APN
Septembre
2014
Une sœur de la Société de Secours, Danielle TUAIRAU représente l’église au conseil des femmes de Polynésie
Samedi
13 septembre 2014, le restaurant « Musée Gauguin » situé à Papeari,
accueillait un énorme bouquet de fleurs aux couleurs verdoyantes et parfumées. En effet, toutes les femmes de la Polynésie s’étaient donné rendez-vous pour
une journée bien remplie.
Le conseil des femmes
est une organisation qui rassemble les femmes issues d’associations qui
défendent les intérêts de la femme. Voir http://www.conseildesfemmes.pf/missions.html
.
Chaque couple membre,
présent aux festivités, représentait leur pieu respectif.
C’était l’occasion donc
à cette rencontre d’interroger notre représentante sœur TUAIRAU Danielle de la
paroisse de Tiarei du pieu de Mahina.
« Il
y a encore beaucoup à faire et la collaboration des sœurs de la Société de
Secours de chaque pieu peut faire la différence… » A-t-elle
déclarée.
Elle poursuit en
invitant chaque sœurs d’apporter sa pierre à cette édifice au profit de toutes
les mères et épouses Tahitiennes.
« …Le
savoir faire des sœurs de la Société de Secours est une ressource idéale et
essentielle pour venir en aide aux sœurs de toute la Polynésie membre ou
pas… »
L’appel est donc lancé, à nos dirigeants de Tahiti et ses îles qui pourraient inscrire dans leurs événements annuels un chapitre sur les solutions que l’église connaît pour contribuer au bien-être des femmes et de leurs familles en Polynésie.
L’église a énormément
de programmes qui apporteront un souffle de sérénité et de mieux vivre. Le
christ est la source du bonheur.
Depuis sa création
l’église a toujours été représentée par une sœur dévouée de la Société de
Secours, pour mémoire, il y a eue sœur BENNETT Yolande, sœur TEUIRA Eliane,
sœur LABRE Marie et maintenant sœur TUAIRAU Danielle.
A rappeler que
l’église, représentée par la Société de Secours est une des 5 membres
fondateurs du conseil des femmes de Polynésie.
D’autres actions
viendront compléter le calendrier chargé du conseil des femmes et notre
représentante Danielle TUAIRAU ne manquera pas de nous les faire partager.
APN, Médias
Septembre 2014
lundi 15 septembre 2014
Article paru dans la rubrique "Religion" de la Dépêche de Tahiti le Samedi 13 Septembre 2014
MESSAGE :
«À quoi pensez-vous?»
par W.CRAIG ZWICK des soixante-dix
Il y a quarante
et un ans, je me mettais au volant d’un semi-remorque de dix-huit roues,
accompagné de ma femme Jan et de notre bébé Scotty. Nous transportions un lourd
chargement de matériaux de construction à travers plusieurs États.
À cette époque,
il n’y avait pas d’obligation de mettre sa ceinture de sécurité ni d’installer
des sièges pour enfants. Ma femme tenait notre cher petit dans ses bras. Sa
réflexion : « Nous sommes vraiment haut par rapport au sol »,
aurait dû me donner une idée de son appréhension. »
Alors que nous
effectuions notre descente dans l’historique col Donner, un tronçon abrupt de
la route, la cabine de la motrice s’est brusquement remplie d’une épaisse
fumée. Il était difficile de discerner la route et nous avions du mal à
respirer.
Avec un gros
chargement, les freins seuls ne suffisent pas à ralentir en urgence. J’essayais
frénétiquement d’arrêter le camion en utilisant le frein moteur et en
rétrogradant les vitesses. Juste au moment où je me garais sur
le côté de la route, mais avant notre arrêt complet, ma femme a ouvert la
portière de la cabine et a sauté du camion avec notre bébé dans les bras. Je
les ai regardés, impuissant, tomber par terre.
Dès que j’ai
arrêté le semi-remorque, j’ai sauté de la cabine enfumée. Paniqué, j’ai couru
au milieu des rochers et de la végétation et je les ai serrés dans mes bras.
Les avant-bras de Jan et ses coudes étaient écorchés et saignaient mais, grâce
à Dieu, notre fils et elle respiraient. Je les ai tenus serrés pendant que la
poussière retombait sur le bas-côté de la route. Une fois que
les battements de mon cœur se sont calmés et que j’ai pu reprendre mon souffle,
je me suis écrié : « Mais à quoi pensais-tu ? Te rends-tu compte
du risque que tu as pris ? Vous auriez pu vous tuer ! »
Elle m’a
regardé, des larmes coulant sur ses joues souillées par la fumée, et m’a dit
quelque chose qui m’a transpercé le cœur et qui résonne encore à mes
oreilles : « J’essayais juste de sauver
notre fils. »
Je me suis
rendu compte à ce moment-là qu’elle pensait que le moteur était en feu, qu’elle
avait peur que le camion explose et que nous mourions. De mon côté, je savais
que c’était une défaillance électrique, dangereuse mais pas fatale. J’ai
regardé ma bien-aimée qui caressait doucement la tête de notre petit garçon et
je me suis demandé quel genre de femme ferait une chose aussi courageuse.
Cette situation aurait pu être
aussi dangereuse sur le plan émotionnel que notre problème de moteur.
Heureusement, après avoir enduré notre silence réciproque pendant un temps
raisonnable, chacun croyant que l’autre avait tort, nous avons fini par exprimer
les émotions qui se brassaient sous nos explosions de colère.
Exprimer notre amour et notre peur pour la sécurité de
l’autre a empêché le dangereux incident de se révéler fatal pour notre précieux
mariage.
Paul a lancé cet
avertissement : « Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole
mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification
et communique une grâce à ceux qui l’entendent (Éphésiens
4:29).
Ses paroles résonnent avec une certaine pureté. Que signifie pour vous l’expression
« aucune parole mauvaise » ?
Parfois les enfants lancent à
leurs parents qu’ils aiment, des paroles blessantes. Des conjoints, qui ont
vécu de tendres expériences très riches, perdent la vision et la patience
qu’ils doivent avoir l’un envers l’autre et élèvent la voix. Chacun de nous,
bien qu’enfant de l’alliance d’un Père céleste aimant, a regretté d’avoir sauté
la tête la première du piédestal de sa suffisance et d’avoir lancé des mots
cinglants avant de comprendre la situation du point de vue de l’autre. Nous avons tous
eu l’occasion de voir que par des mots destructeurs une situation dangereuse
peut devenir fatale.
Il est aujourd’hui particulièrement nécessaire que les
hommes et les femmes cultivent le respect mutuel au milieu de grandes différences
de croyances et de comportements, et de fossés creusés par leurs priorités
respectives. Il est impossible de connaître tout ce qui nourrit nos pensées et
notre cœur, ni même de comprendre complètement le contexte des épreuves et des
choix auxquels chacun de nous fait face.
Cependant, que deviendraient les « paroles
mauvaises » dont parle Paul si notre point de vue comportait en premier
lieu de l’empathie pour l’expérience de l’autre ?
Pleinement conscient des limites que sont mes
imperfections et mes côtés mal dégrossis, je vous prie de vous exercer à poser
cette question, avec un regard indulgent sur l’expérience d’autrui :
« À quoi pensez-vous ? »
C’est quand on est disposé à regarder par les yeux de
l’autre que les « mauvaises paroles » se transforment en
« communication d’une grâce ». L’apôtre Paul comprenait cela et
chacun d’entre nous, à son niveau, peut aussi le comprendre. Cela peut ne pas
changer ou résoudre le problème, mais la possibilité la plus importante est de
voir si communiquer une grâce peut nous changer.
Je rends humblement témoignage que nous pouvons « communiquer
une grâce » au moyen d’un langage compatissant, quand le don du
Saint-Esprit une fois cultivé, imprègne notre cœur de sollicitude pour les
sentiments des autres et le contexte dans lequel ils vivent. Cela nous permet
de transformer des situations dangereuses en des lieux saints. Je témoigne que
le Sauveur nous aime, qu’il « regarde au cœur »
(1 Samuel 16:7)et qu’il se soucie de ce que nous pensons. Au nom de
Jésus-Christ. Amen.
dimanche 7 septembre 2014
Article paru dans la rubrique "Religion" de la Dépêche de Tahiti le Samedi 6 Septembre 2014
Christ le Rédempteur
Par Carlos H.AMADO des soixante-dix
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est né et est mort dans des circonstances uniques. Il a vécu et il a grandi dans des conditions humbles, sans biens matériels. De lui-même, il a dit: « Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids; mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête » (Luc 9:58).
Il n’a jamais reçu d’honneurs, de privilèges, de reconnaissance ni de traitement de faveur des dirigeants politiques et religieux de la terre à son époque. Il ne s’asseyait pas non plus sur les plus hauts sièges des synagogues.
Son enseignement était simple, et bien qu’une multitude l’ait suivi, son ministère a toujours consisté à bénir les gens un par un. Il a accompli d’innombrables miracles parmi les gens qui l’acceptaient comme l’envoyé de Dieu.
Il a donné à ses apôtres l’autorité et le pouvoir d’accomplir des miracles et « de plus grandes œuvres » que ce qu’il a fait (Jean14:12), mais il ne leur a jamais délégué le privilège de pardonner les péchés.
Ce droit n’appartenait qu’à lui parce qu’il est le Fils de Dieu et parce qu’il allait payer pour ces péchés par son expiation.
Son pouvoir sur la mort
Marthe et Marie étaient les sœurs de Lazare, et le Christ leur rendait souvent visite. Quand on lui apprit que Lazare était malade, il partit deux jours plus tard pour rejoindre la famille. En consolant Marthe, il lui témoigna formellement: « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » (Jean 11:25).
Quand le Sauveur demanda aux personnes en deuil de retirer la pierre du sépulcre, Marthe lui chuchota timidement: « Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là ».
Mais Jésus lui rappela: «Ne t’ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » .
Et, après avoir dit cela, il s’écria d’une voix forte: «Lazare, sors !»«Et le mort sortit» (Jean 11:39-53).
Après ces quatre jours que Lazare avait passés dans la tombe, les ennemis du Fils de Dieu étaient face à une preuve irréfutable qu’ils ne pouvaient pas ignorer, minimiser ou déformer, et, avec malice et de façon absurde, «dès ce jour, ils résolurent de le faire mourir ».
Le nouveau commandement
Plus tard, le Christ vivant célébra à Jérusalem sa dernière fête de la pâque avec ses apôtres. Il instaura l’ordonnance de la Sainte-Cène et leur donna le commandement de s’aimer les uns les autres par un service sincère.
La Passion à Gethsémané
Après cela, dans la démonstration la plus sublime de son amour pour l’humanité et dans le plein exercice de sa volonté, il marcha courageusement et affronta avec détermination son épreuve la plus exigeante. Au jardin de Gethsémané, dans la plus grande solitude, il subit la plus intense des souffrances, saignant par chaque pore. Totalement soumis à son Père, il expia nos péchés et prit aussi sur lui nos maladies et nos afflictions pour savoir comment nous secourir.
Nous avons une dette envers lui et envers notre Père céleste car son sacrifice est une bénédiction pour chacun, depuis Adam, le premier, jusqu’au dernier de tous les êtres humains.
La condamnation et la crucifixion du Sauveur
À chaque étape de sa souffrance, le Rédempteur du monde fit preuve d’une maîtrise de soi exceptionnelle. Il pensa toujours à bénir les autres. Avec gentillesse et tendresse, il demanda à Jean de prendre soin de sa mère, Marie. Il demanda à son Père céleste de pardonner aux bourreaux qui l’avaient crucifié. Son œuvre sur terre accomplie, il remit son esprit à Dieu et rendit le dernier soupir. Le corps du Christ fut mis au tombeau et il y resta pendant trois jours.
Les prémices de la résurrection
Après avoir accompli son œuvre dans le monde des esprits, il retourna sur la terre, unissant à jamais son esprit avec son corps.
Le Christ fut le premier à ressusciter pour ne plus mourir. Il possède pour toujours un corps parfait et éternel. Dans son état ressuscité, il apparut à Marie, qui, dès qu’elle l’eut reconnu, commença à l’adorer. Notre Rédempteur, avec une grande tendresse, l’alerta sur son nouvel état glorieux: «Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père» (Jean 20:17), donnant un témoignage supplémentaire que son ministère dans le monde des esprits était réel et terminé.
Puis, dans un langage qui confirma la réalité de sa résurrection, il dit: «je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu» (Jean 20:17). Après être allé auprès de son Père, il revint encore et apparut à ses apôtres: «Il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur.» (Jean 20:20).
Le Rédempteur reviendra
Je témoigne que le Christ reviendra d’une manière très différente de sa première venue. Il viendra en puissance et en gloire, avec tous les justes et les saints fidèles. Il viendra en Roi des rois et Seigneur des seigneurs, comme le Prince de la paix, le Messie promis, le Sauveur et le Rédempteur, pour juger les vivants et les morts. Je l’aime et le sers de tout mon cœur. Je prie pour que nous servions avec joie et dévouement et que nous lui restions fidèles jusqu’à la fin. Au nom de Jésus-Christ. Amen.
samedi 6 septembre 2014
La chapelle de Fariipiti à Papeete fait peau neuve.
Une
des plus anciennes chapelles de l’église en Polynésie est depuis quelques
semaines l’objet de toute l’attention d’ouvriers, qui lui redonnent un bel
éclat.
En effet, la chapelle
de Fariipiti qui a vu passer énormément d’évènements dans ses locaux, d’une
soirée « Farira’a » d’autorités de l’église de la région du Pacifique
en passant par la réception d’un mariage ou encore des soirées spirituelles, se
refait une beauté après tant d’années à servir le peuple de la capitale et à
être le lieu culte des grands évènements.
Les techniciens du
bâtiment ont d’abord commencé par décaper l’ancienne peinture et ensuite à
peindre. D’autres travaux sont également prévus afin de garder ce bâtiment de
l’église dans les normes requises et qu’il soit encore le témoin de nombreux
autres évènements de la vie des membres de l’église de la capitale et des
personnes qui en font partie.
Alors si vous passez
par Fariipiti, vous noterez que la chapelle brille différemment et qu’elle sera
ravie de vous accueillir tous les jours, puisque le centre de l’Autonomie y est
installé ainsi que le centre de l’Histoire familiale.
APN – Septembre 2014
jeudi 4 septembre 2014
lundi 1 septembre 2014
Centre de l'Autonomie Papeete Tahiti - SRC
Calendrier de formations - Septembre 2014
Lundi 1 au Vendredi 5 (8H00-12H00) recherche d'emploi
Mardi 9 au Jeudi 11 (9h00-10H30) Planifier pour réussir (J.A.)
Lundi 15 au Vendredi 19 (08H-12H) recherche d'emploi
Mardi 23 au Jeudi 25 (9H00-10H30)Travailler à son propre compte
Lundi, Mercredi et Vendredi (14H00-15H00) cours d'anglais
Pour tous renseignements : tél : 40.507.080
au Centre de l'Autonomie, chapelle de Fariipiti
Emission "Viens et suis moi" sur TNTV du 31 Août 2014
Iaorana,
Nous sommes heureux de vous présentez dans notre émission de ce jours, ce que les membres de JÉSUS CHRIST des Saints des Derniers Jours, font pendant trois heures tous les dimanches à la chapelle. Suivez-moi ....
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