mardi 30 septembre 2014

Emission TNTV viens et suis moi - Septembre 2014



Bonjour et bienvenue dans notre émission viens et suis-moi, aujourd'hui nous allons vous présenter le séminaire, une éducation religieuse destiné aux jeunes de 14 à 17 ans ....

samedi 27 septembre 2014



MESSAGE :

"Là où est ton trésor"
Par  MICHAEL JOHN U. Teh des soixante-dix 

    En janvier dernier, ma chère femme, Grace, et moi avons reçu la responsabilité de rendre visite aux membres des Philippines qui ont connu les dévastations d’un tremblement de terre de grande envergure et d’un typhon géant.
    Nous nous sommes réjouis parce que cette responsabilité était une réponse à nos prières et un témoignage de la miséricorde et de la bonté d’un Père céleste aimant. Cela a mis fin à notre attente de pouvoir leur exprimer personnellement notre amour et notre sollicitude.

    Lors des calamités ou des tragédies, le Seigneur a l’art de nous recentrer, nous et nos priorités. D’un coup, tous les biens matériels que nous avons acquis après tant de travail n’ont plus aucune importance.

    Tout ce qui compte, c’est notre famille et nos relations avec les autres. Une brave sœur l’a formulé comme ceci : « Après que les eaux se sont retirées et que le moment est venu de nettoyer, j’ai fait le tour de ma maison et je me suis dit que j’avais accumulé beaucoup de choses inutiles pendant toutes ces années. »

    Je pense que cette sœur voit les choses sous un meilleur angle et que dorénavant elle fera très attention quand elle décidera de ce qui est nécessaire et de ce dont elle peut vraiment se passer.

    Par nécessité, la plupart d’entre nous gagnent de l’argent et acquièrent des biens de ce monde pour pouvoir subvenir aux besoins de leur famille. Cela requiert beaucoup de notre temps et de notre attention.

    Ce que le monde a à nous offrir est infini ; il est donc capital d’apprendre à reconnaître quand nous avons assez.

    Si nous n’y prenons garde, nous commencerons à nous attacher au temporel plus qu’au spirituel. Notre quête du spirituel et de l’éternel deviendra secondaire, alors que ce devrait être l’inverse. Malheureusement, il semble y avoir une forte tendance à acquérir de plus en plus de biens et à posséder les plus récents et les plus élaborés.

    J’espère qu’aucun de nous ne dépense d’argent pour ce qui n’a pas de valeur, ni ne travaille pour ce qui ne peut satisfaire.

    Le Sauveur a enseigné ce qui suit tant aux Juifs :
   « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent. Mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. »Matthieu 6:19–21

Quels sont les trésors dans les cieux que nous pouvons nous amasser ?
    Pour commencer, il serait bien d’acquérir les vertus chrétiennes que sont la foi, l’espérance, l’humilité et la charité. L’exhortation du Sauveur est que nous nous efforcions d’être parfaits comme notre Père céleste et lui.

    Deuxièmement, nous devons consacrer plus de temps et d’efforts de qualité à fortifier nos relations familiales. Après tout, la famille est ordonnée de Dieu. Elle est la cellule la plus importante pour le temps et pour l’éternité.

    Troisièmement, servir les autres est la marque d’un vrai disciple du Christ. « Dans la mesure où vous avez fait cela à l’un de ces plus petits de mes frères […] c’est à moi que vous l’avez fait. » Matthieu 25:40 

    Quatrièmement, comprendre la doctrine du Christ et fortifier notre témoignage est un travail qui nous apportera une joie et une satisfaction véritables. Nous avons besoin d’étudier régulièrement les paroles du Christ que l’on trouve dans les Écritures ainsi que les paroles des prophètes actuels.

    Souvenons-nous toujours des paroles du Sauveur : « Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. » Je prie que notre cœur puisse être au bon endroit, au nom de Jésus-Christ. Amen.

vendredi 26 septembre 2014

Réunion Générale des Femmes du Monde Entier, ce samedi 27 septembre 2014

POUR QUI ?

    Cette réunion est destinée à toutes les femmes, jeunes filles et fillettes de 8 ans et plus. Qu'elles soient membres de l'Église ou pas.
TOUTES LES FEMMES SONT INVITÉES.



LIEU, DATE ET HEURE ?
    Pour ce qui est de Tahiti et ses îles, la réunion aura lieu dans chaque bâtiment de pieu de l'Église.
Le pieu de ARUE, suite à des changements indépendants de leur volonté, diffusera la réunion générale des femmes le dimanche 28 septembre 2014 à Pirae, au centre de pieu.
Pour les autres pieux, la réunion se fera le SAMEDI 27 SEPTEMBRE 2014 à partir de 14h.


POURQUOI ?


    Cette réunion permet aux femmes polynésiennes, membres ou non, de se rassembler pour un moment d'instruction, dans une ambiance de paix et de fraternité.

Elles pourront ainsi, grâce aux messages qui seront donnés, améliorer leur vie, ou encore avoir plus de courage pour affronter les défis de la vie.
    Le Seigneur, qui inspirera les oratrices et les orateurs, souhaite le bonheur de toutes ces femmes qui contribuent à son oeuvre, de par le monde et qui sont une part importante de son plan du bonheur.


COMMENT ?

    Pour celles qui ne sont membres, vous pouvez demander, si vous le souhaitez, à une soeur membre de l'Église de vous accompagner. Elles seront ravies de vous rendre ce service.
Autrement, vous pouvez suivre en direct sur internet : www.lds.org

Pour tous renseignements : mormonmediastahiti@gmail.com




jeudi 25 septembre 2014

Emission "Viens et suis-moi" sur TNTV - le 27 Septembre 2014

Mormon Médias Tahiti vous donne rendez-vous à partir de 06h00, sur votre chaîne local TNTV ce samedi  27 Septembre 2014.

Bonjour et bienvenue dans notre émission viens et suis-moi, aujourd'hui nous allons vous présenter le séminaire, une éducation religieuse destiné aux jeunes de 14 à 17 ans ....





dimanche 21 septembre 2014

Article paru dans la rubrique "Religion" de la Dépêche de Tahiti le Samedi 20 Septembre 2014







MESSAGE :

«Ne crains rien, je suis avec toi»


    Il y a peu de sentiments comparables à ceux que l’on ressent quand on devient parent. Il n’y a rien de plus merveilleux que de recevoir, directement des cieux, un précieux nouveau-né. Un de mes frères a vécu cette expérience d’une façon particulièrement poignante. Son premier fils, né prématuré, ne pesait que 1,3 kg. Hunter a passé les deux premiers mois de sa vie à l’hôpital, dans l’unité de soins intensifs néonataux.

 Ces deux mois, au cours desquels nous avons espéré et demandé l’aide du Seigneur, ont été émouvants pour toute la famille.
   Le petit Hunter était tellement dépendant ! Il luttait pour acquérir la force nécessaire pour vivre. La main robuste de son père aimant a souvent pris sa main minuscule pour l’encourager, lui, son petit enfant fragile.

   Il en est de même pour tous les enfants de Dieu. Notre Père céleste nous tend la main avec un amour infini. Il a pouvoir sur toute chose et désire nous aider à apprendre, à progresser et à retourner auprès de lui.

   Quand nous acquérons une foi et une confiance plus grandes en notre Seigneur, nous accédons à son pouvoir de nous bénir et de nous délivrer.

   Un soir, à la tombée de la nuit, j’étais en voiture avec mes enfants. J’ai remarqué un garçon qui marchait le long d’une route déserte. Après être passée à côté de lui, j’ai eu l’impression très nette que je devais faire demi-tour et l’aider. 

    Mais, craignant qu’il ait peur en voyant une inconnue s’arrêter à côté de lui le soir, j’ai continué ma route. L’impression est revenue avec force et j’ai entendu ces mots dans mon esprit : « Va aider ce garçon ! »
    Je suis retournée vers lui et lui ai demandé : « As-tu besoin d’aide ? J’ai eu l’impression que je devais t’aider. »
    Il s’est tourné vers nous et, le visage plein de larmes, il a dit : « Vous voulez bien ? J’ai prié pour que quelqu’un m’aide. »

    Dieu a répondu à sa prière en m’envoyant une inspiration. Cette expérience de recevoir une inspiration de l’Esprit d’une telle clarté m’a laissé dans le cœur une empreinte inoubliable et toujours présente.

    Et maintenant, vingt-cinq ans plus tard et grâce aux tendres miséricordes du Seigneur, j’ai retrouvé ce garçon pour la première fois il y a tout juste quelques mois. Je me suis aperçue que cette expérience n’est pas seulement mon histoire, mais qu’elle est aussi la sienne. 

   Deric Nance est aujourd’hui père de famille. Lui non plus n’a jamais oublié cette expérience. Elle nous a permis de poser un fondement de foi : Dieu entend et exauce nos prières. Nous l’avons tous les deux utilisée pour enseigner à nos enfants que Dieu veille sur nous.

   Ce soir-là, il était resté après l’école pour une activité, et il avait raté le dernier bus. Fort de la confiance que donne la jeunesse, il a pensé qu’il serait capable de rentrer seul et s’est mis à marcher.
Il avait marché une heure et demie sur cette route déserte. Il était encore à des kilomètres de chez lui et il n’y avait pas de maisons en vue. Il avait peur. Angoissé, il s’est agenouillé derrière un tas de gravier et a demandé à son Père céleste de lui venir en aide. Quelques minutes seulement après qu’il a rejoint la route, je me suis arrêtée pour lui apporter l’aide qu’il avait demandée dans sa prière.

    Avec toutes ces années de recul, Deric analyse les choses ainsi : « Le Seigneur veillait sur moi, un garçon frêle et irréfléchi. Et, malgré tout ce qui se passait dans le monde, il connaissait ma situation et m’aimait suffisamment pour m’envoyer de l’aide. Le Seigneur a répondu de nombreuses fois à mes prières depuis que je me suis retrouvé sur cette route abandonnée. 
   
   Ses réponses ne sont pas toujours si immédiates et si claires, mais l’intérêt qu’il me porte est toujours aussi évident aujourd’hui que ce soir-là. Quand je me sens enveloppé par les ténèbres de la vie, je sais qu’il a toujours un plan pour que je retourne sain et sauf à la maison. »

   Où que nous soyons sur le chemin de la vie de disciple, quelles que soient nos craintes et nos difficultés, nous ne sommes pas seuls. Le Seigneur ne vous a pas oublié

   Nous pouvons choisir de prendre la main que Dieu nous tend quand nous sommes dans le besoin. Nous pouvons affronter nos difficultés en priant et en nous confiant dans le Seigneur. Ce faisant, nous devenons davantage semblables à lui.

    Le Seigneur s’adresse à chacun d’entre nous quand il dit : « Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante (Ésaïe 41:10). »


   Je témoigne humblement mais sûrement que Dieu, notre Père, nous connaît personnellement et nous tend la main pour nous aider. Je témoigne que, grâce à son Fils bien-aimé, Jésus-Christ, nous pouvons vaincre les difficultés de ce monde et être ramenés en sécurité à la maison. Je prie pour que nous ayons la foi de lui donner notre confiance. Au nom de Jésus-Christ. Amen.

jeudi 18 septembre 2014

Formation des dirigeants de la communication de l’église à la chapelle de Fariipiti.


    Régulièrement, les membres de la communication de chaque pieu se rassemblent afin de bénéficier des derniers enseignements nécessaires à la progression de l’église en Polynésie.


       Nouvellement appelé, la direction des Affaires Publiques Nationales de l’église a dispensée une formation aux sept directions de la communication de pieux. Venus nombreux, ces dirigeants ont la responsabilité de parler des principes élevés à travers la vie des membres de l’église.
Et de veiller à l’utilisation exacte des informations relatives à l’église.

Comme l’a déclaré un apôtre, Elder Ballard :
«  …Aujourd’hui la communication répond à un besoin de plus en plus grand…Je crois fermement que le programme de communication de l’église est un outil préparé par le seigneur pour notre époque. De nos jours, où la vérité est  si communément déformée ou mal comprise, il y a un grand besoin d’exactitude et de compréhension. La communication menée efficacement peut apporter équilibre et clarté. »
« Votre appel consiste à établir et à fortifier la compréhension des gens de votre région,… »

   Actuellement une émission de 26 minutes est diffusée sur la chaîne locale TNTV une fois par mois et s’intitule « Viens et suis-moi ».
Un site officiel de l’église en Polynésie www.mormonmedia.org.pf est en cours de construction.



Et pour les réseaux sociaux nous avons :

Chaque pieu a également sa page Facebook.


APN

Septembre 2014

Une sœur de la Société de Secours, Danielle TUAIRAU représente l’église au conseil des femmes de Polynésie

   Samedi 13 septembre 2014, le restaurant « Musée Gauguin » situé à Papeari, accueillait un énorme bouquet de fleurs aux couleurs verdoyantes et parfumées. En effet, toutes les femmes de la Polynésie s’étaient donné rendez-vous pour une journée bien remplie.

Le conseil des femmes est une organisation qui rassemble les femmes issues d’associations qui défendent les intérêts de la femme. Voir  http://www.conseildesfemmes.pf/missions.html .

Chaque couple membre, présent aux festivités, représentait leur pieu respectif.
C’était l’occasion donc à cette rencontre d’interroger notre représentante sœur TUAIRAU Danielle de la paroisse de Tiarei du pieu de Mahina.
« Il y a encore beaucoup à faire et la collaboration des sœurs de la Société de Secours de chaque pieu peut faire la différence… » A-t-elle déclarée.

    Elle poursuit en invitant chaque sœurs d’apporter sa pierre à cette édifice au profit de toutes les mères et épouses Tahitiennes.
« …Le savoir faire des sœurs de la Société de Secours est une ressource idéale et essentielle pour venir en aide aux sœurs de toute la Polynésie membre ou pas… »

L’appel est donc lancé, à nos dirigeants de Tahiti et ses îles qui pourraient inscrire dans leurs événements annuels un chapitre sur les solutions que l’église connaît pour contribuer au bien-être des femmes et de leurs familles en Polynésie.

    L’église a énormément de programmes qui apporteront un souffle de sérénité et de mieux vivre. Le christ est la source du bonheur.

    Depuis sa création l’église a toujours été représentée par une sœur dévouée de la Société de Secours, pour mémoire, il y a eue sœur BENNETT Yolande, sœur TEUIRA Eliane, sœur LABRE Marie et maintenant sœur TUAIRAU Danielle.

    A rappeler que l’église, représentée par la Société de Secours est une des 5 membres fondateurs du conseil des femmes de Polynésie.
  D’autres actions viendront compléter le calendrier chargé du conseil des femmes et notre représentante Danielle TUAIRAU ne manquera pas de nous les faire partager.





APN, Médias
Septembre 2014

lundi 15 septembre 2014

Article paru dans la rubrique "Religion" de la Dépêche de Tahiti le Samedi 13 Septembre 2014




MESSAGE :

«À quoi pensez-vous?»

 par  W.CRAIG ZWICK des soixante-dix

 

    Il y a quarante et un ans, je me mettais au volant d’un semi-remorque de dix-huit roues, accompagné de ma femme Jan et de notre bébé Scotty. Nous transportions un lourd chargement de matériaux de construction à travers plusieurs États.

    À cette époque, il n’y avait pas d’obligation de mettre sa ceinture de sécurité ni d’installer des sièges pour enfants. Ma femme tenait notre cher petit dans ses bras. Sa réflexion : « Nous sommes vraiment haut par rapport au sol », aurait dû me donner une idée de son appréhension. »
Alors que nous effectuions notre descente dans l’historique col Donner, un tronçon abrupt de la route, la cabine de la motrice s’est brusquement remplie d’une épaisse fumée. Il était difficile de discerner la route et nous avions du mal à respirer.

    Avec un gros chargement, les freins seuls ne suffisent pas à ralentir en urgence. J’essayais frénétiquement d’arrêter le camion en utilisant le frein moteur et en rétrogradant les vitesses. Juste au moment où je me garais sur le côté de la route, mais avant notre arrêt complet, ma femme a ouvert la portière de la cabine et a sauté du camion avec notre bébé dans les bras. Je les ai regardés, impuissant, tomber par terre.

    Dès que j’ai arrêté le semi-remorque, j’ai sauté de la cabine enfumée. Paniqué, j’ai couru au milieu des rochers et de la végétation et je les ai serrés dans mes bras. Les avant-bras de Jan et ses coudes étaient écorchés et saignaient mais, grâce à Dieu, notre fils et elle respiraient. Je les ai tenus serrés pendant que la poussière retombait sur le bas-côté de la route. Une fois que les battements de mon cœur se sont calmés et que j’ai pu reprendre mon souffle, je me suis écrié : « Mais à quoi pensais-tu ? Te rends-tu compte du risque que tu as pris ? Vous auriez pu vous tuer ! »

    Elle m’a regardé, des larmes coulant sur ses joues souillées par la fumée, et m’a dit quelque chose qui m’a transpercé le cœur et qui résonne encore à mes oreilles : « J’essayais juste de sauver notre fils. »

    Je me suis rendu compte à ce moment-là qu’elle pensait que le moteur était en feu, qu’elle avait peur que le camion explose et que nous mourions. De mon côté, je savais que c’était une défaillance électrique, dangereuse mais pas fatale. J’ai regardé ma bien-aimée qui caressait doucement la tête de notre petit garçon et je me suis demandé quel genre de femme ferait une chose aussi courageuse.

    Cette situation aurait pu être aussi dangereuse sur le plan émotionnel que notre problème de moteur. Heureusement, après avoir enduré notre silence réciproque pendant un temps raisonnable, chacun croyant que l’autre avait tort, nous avons fini par exprimer les émotions qui se brassaient sous nos explosions de colère.

    Exprimer notre amour et notre peur pour la sécurité de l’autre a empêché le dangereux incident de se révéler fatal pour notre précieux mariage.

    Paul a lancé cet avertissement : « Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent (Éphésiens 4:29).

    Ses paroles résonnent avec une certaine pureté. Que signifie pour vous l’expression « aucune parole mauvaise » ?

    Parfois les enfants lancent à leurs parents qu’ils aiment, des paroles blessantes. Des conjoints, qui ont vécu de tendres expériences très riches, perdent la vision et la patience qu’ils doivent avoir l’un envers l’autre et élèvent la voix. Chacun de nous, bien qu’enfant de l’alliance d’un Père céleste aimant, a regretté d’avoir sauté la tête la première du piédestal de sa suffisance et d’avoir lancé des mots cinglants avant de comprendre la situation du point de vue de l’autre. Nous avons tous eu l’occasion de voir que par des mots destructeurs une situation dangereuse peut devenir fatale.

    Il est aujourd’hui particulièrement nécessaire que les hommes et les femmes cultivent le respect mutuel au milieu de grandes différences de croyances et de comportements, et de fossés creusés par leurs priorités respectives. Il est impossible de connaître tout ce qui nourrit nos pensées et notre cœur, ni même de comprendre complètement le contexte des épreuves et des choix auxquels chacun de nous fait face.

Cependant, que deviendraient les « paroles mauvaises » dont parle Paul si notre point de vue comportait en premier lieu de l’empathie pour l’expérience de l’autre
     Pleinement conscient des limites que sont mes imperfections et mes côtés mal dégrossis, je vous prie de vous exercer à poser cette question, avec un regard indulgent sur l’expérience d’autrui : « À quoi pensez-vous ? »
    C’est quand on est disposé à regarder par les yeux de l’autre que les « mauvaises paroles » se transforment en « communication d’une grâce ». L’apôtre Paul comprenait cela et chacun d’entre nous, à son niveau, peut aussi le comprendre. Cela peut ne pas changer ou résoudre le problème, mais la possibilité la plus importante est de voir si communiquer une grâce peut nous changer.


    Je rends humblement témoignage que nous pouvons « communiquer une grâce » au moyen d’un langage compatissant, quand le don du Saint-Esprit une fois cultivé, imprègne notre cœur de sollicitude pour les sentiments des autres et le contexte dans lequel ils vivent. Cela nous permet de transformer des situations dangereuses en des lieux saints. Je témoigne que le Sauveur nous aime, qu’il « regarde au cœur » (1 Samuel 16:7)et qu’il se soucie de ce que nous pensons. Au nom de Jésus-Christ. Amen.

dimanche 7 septembre 2014

Article paru dans la rubrique "Religion" de la Dépêche de Tahiti le Samedi 6 Septembre 2014




MESSAGE:
Christ le Rédempteur
Par Carlos H.AMADO  des soixante-dix

   Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est né et est mort dans des circonstances uniques. Il a vécu et il a grandi dans des conditions humbles, sans biens matériels. De lui-même, il a dit: « Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids; mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête » (Luc 9:58).

   Il n’a jamais reçu d’honneurs, de privilèges, de reconnaissance ni de traitement de faveur des dirigeants politiques et religieux de la terre à son époque. Il ne s’asseyait pas non plus sur les plus hauts sièges des synagogues.
Son enseignement était simple, et bien qu’une multitude l’ait suivi, son ministère a toujours consisté à bénir les gens un par un. Il a accompli d’innombrables miracles parmi les gens qui l’acceptaient comme l’envoyé de Dieu.

   Il a donné à ses apôtres l’autorité et le pouvoir d’accomplir des miracles et « de plus grandes œuvres » que ce qu’il a fait (Jean14:12), mais il ne leur a jamais délégué le privilège de pardonner les péchés. 
Ce droit n’appartenait qu’à lui parce qu’il est le Fils de Dieu et parce qu’il allait payer pour ces péchés par son expiation.

Son pouvoir sur la mort

   Marthe et Marie étaient les sœurs de Lazare, et le Christ leur rendait souvent visite. Quand on lui apprit que Lazare était malade, il partit deux jours plus tard pour rejoindre la famille. En consolant Marthe, il lui témoigna formellement: « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » (Jean 11:25).

   Quand le Sauveur demanda aux personnes en deuil de retirer la pierre du sépulcre, Marthe lui chuchota timidement: « Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là ».
Mais Jésus lui rappela: «Ne t’ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » .
Et, après avoir dit cela, il s’écria d’une voix forte: «Lazare, sors !»«Et le mort sortit» (Jean 11:39-53).

   Après ces quatre jours que Lazare avait passés dans la tombe, les ennemis du Fils de Dieu étaient face à une preuve irréfutable qu’ils ne pouvaient pas ignorer, minimiser ou déformer, et, avec malice et de façon absurde, «dès ce jour, ils résolurent de le faire mourir ».

Le nouveau commandement

   Plus tard, le Christ vivant célébra à Jérusalem sa dernière fête de la pâque avec ses apôtres. Il instaura l’ordonnance de la Sainte-Cène et leur donna le commandement de s’aimer les uns les autres par un service sincère.

La Passion à Gethsémané


   Après cela, dans la démonstration la plus sublime de son amour pour l’humanité et dans le plein exercice de sa volonté, il marcha courageusement et affronta avec détermination son épreuve la plus exigeante. Au jardin de Gethsémané, dans la plus grande solitude, il subit la plus intense des souffrances, saignant par chaque pore. Totalement soumis à son Père, il expia nos péchés et prit aussi sur lui nos maladies et nos afflictions pour savoir comment nous secourir.

   Nous avons une dette envers lui et envers notre Père céleste car son sacrifice est une bénédiction pour chacun, depuis Adam, le premier, jusqu’au dernier de tous les êtres humains.
La condamnation et la crucifixion du Sauveur

   À chaque étape de sa souffrance, le Rédempteur du monde fit preuve d’une maîtrise de soi exceptionnelle. Il pensa toujours à bénir les autres. Avec gentillesse et tendresse, il demanda à Jean de prendre soin de sa mère, Marie. Il demanda à son Père céleste de pardonner aux bourreaux qui l’avaient crucifié. Son œuvre sur terre accomplie, il remit son esprit à Dieu et rendit le dernier soupir. Le corps du Christ fut mis au tombeau et il y resta pendant trois jours.
Les prémices de la résurrection

Après avoir accompli son œuvre dans le monde des esprits, il retourna sur la terre, unissant à jamais son esprit avec son corps. 

   Le Christ fut le premier à ressusciter pour ne plus mourir. Il possède pour toujours un corps parfait et éternel. Dans son état ressuscité, il apparut à Marie, qui, dès qu’elle l’eut reconnu, commença à l’adorer. Notre Rédempteur, avec une grande tendresse, l’alerta sur son nouvel état glorieux: «Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père» (Jean 20:17), donnant un témoignage supplémentaire que son ministère dans le monde des esprits était réel et terminé. 
   Puis, dans un langage qui confirma la réalité de sa résurrection, il dit: «je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu» (Jean 20:17). Après être allé auprès de son Père, il revint encore et apparut à ses apôtres: «Il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur.» (Jean 20:20).

Le Rédempteur reviendra

   Je témoigne que le Christ reviendra d’une manière très différente de sa première venue. Il viendra en puissance et en gloire, avec tous les justes et les saints fidèles. Il viendra en Roi des rois et Seigneur des seigneurs, comme le Prince de la paix, le Messie promis, le Sauveur et le Rédempteur, pour juger les vivants et les morts. Je l’aime et le sers de tout mon cœur. Je prie pour que nous servions avec joie et dévouement et que nous lui restions fidèles jusqu’à la fin. Au nom de Jésus-Christ. Amen.

samedi 6 septembre 2014

La chapelle de Fariipiti à Papeete fait peau neuve.



Une des plus anciennes chapelles de l’église en Polynésie est depuis quelques semaines l’objet de toute l’attention d’ouvriers, qui lui redonnent un bel éclat.

En effet, la chapelle de Fariipiti qui a vu passer énormément d’évènements dans ses locaux, d’une soirée « Farira’a » d’autorités de l’église de la région du Pacifique en passant par la réception d’un mariage ou encore des soirées spirituelles, se refait une beauté après tant d’années à servir le peuple de la capitale et à être le lieu culte des grands évènements.




Les techniciens du bâtiment ont d’abord commencé par décaper l’ancienne peinture et ensuite à peindre. D’autres travaux sont également prévus afin de garder ce bâtiment de l’église dans les normes requises et qu’il soit encore le témoin de nombreux autres évènements de la vie des membres de l’église de la capitale et des personnes qui en font partie.



Alors si vous passez par Fariipiti, vous noterez que la chapelle brille différemment et qu’elle sera ravie de vous accueillir tous les jours, puisque le centre de l’Autonomie y est installé ainsi que le centre de l’Histoire familiale.





APN – Septembre 2014 

lundi 1 septembre 2014

Centre de l'Autonomie Papeete Tahiti - SRC


Calendrier de formations - Septembre 2014
Lundi 1 au Vendredi 5 (8H00-12H00) recherche d'emploi
Mardi 9 au Jeudi 11 (9h00-10H30) Planifier pour réussir (J.A.)
Lundi 15 au Vendredi 19 (08H-12H) recherche d'emploi
Mardi 23 au Jeudi 25 (9H00-10H30)Travailler à son propre compte

Lundi, Mercredi et Vendredi (14H00-15H00) cours d'anglais

Pour tous renseignements : tél : 40.507.080
au Centre de l'Autonomie, chapelle de Fariipiti


Emission "Viens et suis moi" sur TNTV du 31 Août 2014





Iaorana,

Nous sommes heureux de vous présentez dans notre émission de ce jours, ce que les membres de JÉSUS CHRIST des Saints des Derniers Jours, font pendant trois heures tous les dimanches à la chapelle. Suivez-moi ....